Beaucoup croient que tout se joue dans la technique ou le talent.
Pourtant, tu peux changer de raquette, prendre plus de cours, t’entraîner plus longtemps…
Si ton système interne n’est pas prêt, rien ne tient.

Apprendre à apprendre, c’est ça la différence.
C’est la seule voie pour arrêter de jouer avec le frein serré.

Quand le mental et le corps deviennent propres

Lorsque tu nettoies ton corps et ton mental, tu t’ouvres à quelque chose d’immense : la grâce.
Pas un miracle extérieur.
Un état qui apparaît quand tu entretiens ton corps avec respect, quand tu respires consciemment.

Quand ton mental est propre, il ne te sabote plus.
Quand ton corps est propre, il ne t’alourdit plus.
Ensemble, ils deviennent un terrain clair où l’apprentissage peut enfin se déposer.

Dans cet espace, tu accèdes à des qualités surnaturelles :
présence, fluidité, anticipation, précision, calme actif.
Elles apparaissent parce que tu t’es rendu disponible à elles.

On ne peut pas performer sans améliorer le système interne

Tant que tu ne règles pas ta perception interne, la performance restera instable.
Performer, c’est sentir avant de comprendre.
C’est ajuster avant d’y penser.

Améliorer ton système interne, c’est mettre à jour ton tableau de bord :
respiration, appuis, intention, vision.
Quand ce système devient cohérent, ton jeu change.

Un système harmonisé pour recevoir le flux

Quand ton système interne s’harmonise, l’énergie circule.
La cohérence remplace la tension.
Et tu deviens capable de recevoir le flux :
un courant de stabilité et de présence qui rend tout plus simple.

C’est ce flux qui porte la grâce et permet la créativité.
Sans harmonisation, tu restes fragmenté.

Créer de l’espace pour mieux voir et mieux organiser

Avant de progresser, tu dois créer de l’espace en toi.
Tant que tu es saturé de bruits internes, tu ne vois rien clairement.
Une fois cet espace créé, les solutions apparaissent.

La respiration est ta porte d’entrée.
Elle ouvre l’espace intérieur et rend l’organisation possible.

La distance mentale : la condition de toute transformation

Tu veux arrêter de penser à un singe bleu, et tu ne fais que y penser davantage.
Le mental additionne et multiplie, mais il ne soustrait jamais.

La seule solution, c’est la distance.
Observer ton mental comme un phénomène, et non comme ton identité.
Cette distance commence par la respiration.

Quand tu reviens dans le vivant plutôt que dans le mental, ton système s’éclaircit.
Tu recommences à fleurir.

Pour aller plus loin, lis l’article suivant :
Là où va l’attention, va l’énergie