Comme le dit Sadhguru, il y a les mystiques et les mistakes. Autrement dit : les erreurs… mais des erreurs de quoi ? De perception.

Beaucoup perçoivent la réalité à travers le filtre de leurs émotions. Si je me sens bien, je suis ouvert, social, coopératif. Si je me sens mal, je me referme, je me cache — parce qu’on pense que ce n’est pas “acceptable” de montrer ses faiblesses dans un monde compétitif.

Mais voilà justement le problème : refuser de voir les choses telles qu’elles sont, parce qu’on s’est dit “ça ne se passera pas comme ça”. On croit que si on veut, on peut. Mais en réalité, ce n’est pas parce qu’on veut qu’on peut. C’est quand on développe les qualités nécessaires qu’on peut.

Et donc, tant qu’on laisse notre état intérieur diriger notre perception, notre manière d’interagir, on n’est pas libre. Imagine un instant : et si tu pouvais choisir ton état d’être, quoi qu’il arrive à l’extérieur ?

Qu’est-ce qui changerait dans ta vie ? Quelle nouvelle expérience pourrait s’ouvrir ? C’est là-dessus qu’il faut se concentrer. Parce que la compétence naît de l’aisance et de la joie, pas de la volonté seule.

Le yoga, c’est ça

Comprendre que tout est connecté. Que si tu passes plusieurs heures dans la même pièce avec quelqu’un, tu respires en partie son air. Tu es déjà interconnecté. À un niveau microscopique, même quantique.

Et surtout, tu as le pouvoir de choisir ta réponse face aux événements. Pas une réaction automatique, mais une réponse consciente — celle qui ne crée pas de nouveau karma.

Le karma, ce sont toutes ces mémoires qu’on accumule sans les choisir : nos peurs, nos doutes, notre éducation… Mais au fond, nous ne sommes pas cela. Dès que tu t’identifies à ce qui vient de l’extérieur, tu souffres. Mais si tu prends de la distance avec le corps, le mental, tu te sens… vivant.

Et si tu t’entraînais à rester inspiré ?

La méditation, c’est ça. C’est créer volontairement un état de joie par sa propre nature. Grâce à la respiration (comme dans le pranayama), une nouvelle chimie interne s’installe, des idées émergent, et le mental devient plus clair.

Et cette clarté, elle repose sur une attention stable. Une attention qu’on n’apprend pas à l’école, car souvent “faire attention” crée une tension physique. Or, on ne peut pas être concentré si on est tendu.

Pour apprendre, pour performer — en match ou ailleurs — il faut d’abord être à l’aise. Ce n’est pas la technique seule qui fait tout. Beaucoup de joueurs ont un superbe coup droit à l’entraînement, mais se crispent en match. Pourquoi ? Parce qu’il manque une base : la stabilité intérieure.

Ton corps et ton mental ne sont que des outils. Tu n’es pas ton passé. Tu peux écrire une autre histoire. Sinon, tu tourneras en rond… encore et encore.

Commence avec un pas simple mais puissant : Isha Kriya. Une pratique pour revenir à la conscience, améliorer ton attention, et aligner ton corps et ton mental avec ce qui compte vraiment pour toi.

Envie de continuer ce chemin d’exploration intérieure et d’efficacité sur le terrain ?

Tu peux télécharger « Miracle of the Mind » de Sadhguru, directement sur ton téléphone. C’est un super début.